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Zone de Texte: Commentaires

« Luis Sepulveda, d’une façon réaliste, imagée, nous raconte son histoire, sa lutte désespérée contre la destruction de la forêt amazonienne. Je conseille ce merveilleux roman à tous, en particulier à ceux qui apprécient la compagnie de la nature et qui rêve de liberté absolue. »

Hugo 

« La situation de la forêt amazonienne semble être dans un état aussi précaire que notre forêt boréale. »

Amélie

 

« L’auteur a une bonne connaissance des problèmes reliés à la forêt et au mode de vie des Shuards. Les déductions que fait le Vieux sont très intéressantes et sensées à propos des attaques de la femelle. »

Bianca

 

« J’ai mis fin à certaines idées préconçues que j’avais concernant les Indiens et leurs habitudes dans la forêt. Ils ont bien raison de vouloir les protéger. »

François

 

« J’ai beaucoup aimé le personnage principal, José Antonio Bolivar, car il avait beaucoup de respect pour la jungle. »

Marie-Claude

 

« Je peux déclarer que je suis totalement en accord avec les réactions d’Antonio José Bolivar parce qu’il ne faut pas détruire ce que la nature a si bien créé. »

Isabelle

 

« Ce livre m’a appris plusieurs choses. Je ne savais pas qu’un ocelot existait. »

Mylène

  

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« On s’aperçoit que la forêt amazonienne court un grand danger et nous aussi. Les humains courent à leur perte en défrichant le poumon de la planète. Bientôt toute cette belle région qu’est l’Amazonie ne sera plus qu’un territoire dévasté, immensité morte, une plaine désertique occupée par du bétail. Tout cela pour fournir de la viande version « McDo » à un Occident inconscient qu’il mange sa propre mort. »

Kate

 

« Il est facile de s’imaginer les paysages, les gens ou la bête et on peut ressentir l’émotion du Vieux. L’histoire est captivante. »

Claudia

 

« Si rien n’est fait pour sauver cet endroit, d’ici quelques années la forêt amazonienne n’existera plus. »

Pierre-Luc

 

« Je pense qu’il est grand temps d’agir pour empêcher les hommes de briser la forêt amazonienne. Lorsqu’elle n’existera plus, il sera trop tard. Cet auteur écrit comme je l’aime. Il emploie un vocabulaire courant qui nous met à l’aise avec l’histoire. »

Vital

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